Selon des chercheurs, une maladie neurologique aux effets invalidants chez les enfants serait liée à des mutations dans un gène qui régule le développement neuronal par le contrôle du mouvement des protéines au sein des cellules neuronales.
Deux chercheurs de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (INM) de l’Université 91 ont obtenu du financement pour étudier une maladie neurodégénérative aux effets dévastateurs qui se manifeste chez les enfants au moment où ils commencent à marcher.
Des chercheurs de l’INM étudieront cellules souches et mutations génétiques pour mettre au point de nouveaux traitements
Des chercheurs de l’Institut neurologique de Montréal de l’Université 91, qui sont des acteurs clés de l’élucidation des mécanismes à la base de la SLA, se partageront une subvention de 3,9 millions de dollars, qui fait partie des 4,5 millions de dollars annoncés le 23 novembre par la Société canadienne de la SLA en partenariat avec la Fondation Brain Canada aux fins de la recherche.
Des chercheurs ont identifié un gène chez la population canadienne-française qui prédispose au développement d’un anévrisme intracrânien (AI). Cette affection neurologique peut être mortelle et est responsable d’environ 500 000 décès par année à l’échelle mondiale, dont la moitié chez des personnes de moins de 50 ans.
Vous connaissez probablement quelqu’un qui en est atteint. Il s'agit du trouble du mouvement le plus courant et pourtant la plupart des gens ignorent son nom.
Le tremblement essentiel touche près d’un pour cent de la population mondiale, et jusqu’à quatre pour cent des personnes de plus de 40 ans. Le tremblement involontaire des mains en est le plus fréquent des symptômes, qui peuvent aussi inclure le tremblement de la tête et des jambes.
L’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (le Neuro) annonce avec plaisir une nouvelle initiative dont l’objectif est d’atténuer la souffrance de personnes gravement malades, par une démarche de consultation spécialisée et de soins d’ensemble.
Le Dr Guy Rouleau, directeur de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (le Neuro), a été choisi pour recevoir une autre insigne distinction qui souligne sa remarquable carrière scientifique. L’organisation nationale Médecins francophones du Canada lui décerne son Prix de l’œuvre scientifique 2016.
Le Prix de l’œuvre scientifique reconnaît l’ensemble de la carrière d’un médecin canadien dont les activités et les publications scientifiques ont exercé une grande influence sur la pratique clinique à l’échelle nationale et internationale, et fait avancer la médecine.
Un événement inspirant au profit de la recherche sur le cancer du cerveau
Une soirée remplie d’anecdotes personnelles concernant celles et ceux qui ont été touchés par le cancer du cerveau, contribuera à nouveau à la lutte contre la maladie.
Un chercheur de l’INM a obtenu une subvention de 6,1 millions de dollars pour mener une étude sur la sclérose en plaques progressive.
L’International Progressive MS Alliance a attribué trois subventions de 6,1 M$ aux fins de réseaux de collaboration, soit un total de 18,4 millions pour accélérer le rythme de la recherche sur la SP progressive. À l’échelle mondiale, plus de 2,3 millions de personnes vivent avec la SP, dont plus d’un million avec la forme progressive de la maladie.
Un événement-bénéfice pour la recherche visant à vaincre le cancer qui afflige le leader du groupe The Tragically Hip
Le concert d’adieu du célèbre groupe canadien The Tragically Hip appartient désormais à la légende, mais le Neuro invite le public à ne pas oublier le lourd tribut des Canadiens au cancer du cerveau, ainsi que la nécessité impérieuse de mettre au point de nouveaux traitements.
Les substances chimiques améliorent la vision par faible luminosité de têtards en sensibilisant les cellules de la rétine
Une équipe multidisciplinaire comptant des chercheurs de l’Institut neurologique de Montréal a enrichi notre compréhension de la façon dont les cannabinoïdes, l’agent actif dans la marijuana, affectent la vision de vertébrés.
Une caméra détectrice de profondeur 3D se révèle efficace pour mesurer les troubles de la démarche
Un appareil très répandu dans les salons du monde entier semble être un moyen abordable et efficace d’évaluer les difficultés qu’éprouvent les personnes atteintes de sclérose en plaques (SP) à marcher.
La caméra détectrice de profondeur 3D Kinect de Microsoft est utilisée dans les activités vidéo interactives telles que le tennis et la danse. Elle peut être associée à une console de jeu Xbox ou à un ordinateur Windows.
L’étude fait ressortir l’importance de la puissance de calcul pour les futures percées neurologiques
Des chercheurs de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal ont eu recours à un puissant outil pour mieux comprendre la progression de la maladie d’Alzheimer tardive et ont identifié ses premiers signes physiologiques.
Une équipe de scientifiques dirigée par les chercheurs Michel Desjardins, de l’Université de Montréal, et Heidi McBride, de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal de l’Université 91, a découvert que deux gènes associés à la maladie de Parkinson jouent un rôle clé dans la régulation du système immunitaire. Il s’agirait d’une preuve directe que le parkinson est une maladie auto-immune.
L'analgésique DZ辱ï tramadol semble être associé à un risque accru d'hospitalisation pour une Dz⳦é, un problème de santé potentiellement mortel causé par une baisse du taux de sucre dans le sang, selon un rapport publié en ligne par la revue JAMA Internal Medicine.