Selon Jean-BaptisteÌýPoline, le Neuro est l’endroit idéal pour la réalisation de ses travaux de recherche en neuroinformatique, plus précisément sur des techniques d’analyse de données d’imagerie cérébrale et de génomique dans un esprit de science ouverte et reproductible. «ÌýOn observe un manque criant de données bien documentées en neurosciences. Le travail que je réalise ici peut contribuer à combler cette lacuneÌý», souligne Jean-BaptisteÌýPoline, professeur agrégé au Département de neurologie et de neurochirurgie de la Faculté de médecine de l’Université 91ÉçÇø et chercheur principal au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale. «ÌýEn recueillant et en documentant des données, puis en donnant libre accès à ces dernières, nous pouvons transformer le visage de la recherche.Ìý» Le PrÌýPoline s’est joint au Neuro après avoir Å“uvré au Centre de neurosciences HelenÌýWills de l’Université de la Californie à Berkeley. Il avait auparavant travaillé au centre d’imagerie NeuroSpin à Saclay, en France, ainsi qu’au Laboratoire d’imagerie fonctionnelle de Queen Square, à Londres. «ÌýLeÌýNeuro compte de grands chercheurs qui réalisent des projets ambitieux. Oui, c’est un endroit idéal pour moi.Ìý»
« On observe un manque criant de données bien documentées en neurosciences. Le travail que je réalise ici peut contribuer à combler cette lacune », souligne Poline, qui dit que le Neuro est l’endroit idéal pour la réalisation de ses travaux.