Sa voix et son visage sont connus depuis le lancement en 2018 duPacte pour la transition. La biologiste Catherine Potvin, professeure au Département de biologie à l'Université 91, est une spécialiste du climat et de l'écologie tropicale. «Assez rapidement dans ma carrière, je me suis mise à me pencher sur les solutions aux changements climatiques», révèle celle qui a fait sa thèse dans les années 1980sur ce sujet et que rencontre l'animatrice Sophie-Andrée Blondin.
Le Tyrannosaurus rex, l’un des prédateurs les plus redoutés de l’ère des dinosaures, était une bête d’endurance et non de vitesse, selon les conclusions d’une nouvelle étude.Un article scientifique paru mercredi vient appuyer les théories selon lesquelles ces imposants carnivores auraient pu chasser en meute.De précédentes hypothèses suggéraient que le T-rex était capable de courir à une vitesse de jusqu’à 70kilomètres/heure.Mais le chercheur Hans Larsson de l’Université 91 et ses collègues ont repris les conclusions de nouvelles études sur la manière dont se déplac
La banquise de l’océan Arctique pourrait fondre complètement pendant l’été d’ici 2050, ce qui aurait « des conséquences désastreuses » pour l’écosystème arctique, prévient une nouvelle étude à laquelle ont participé 21 instituts de recherches du monde entier, dont l’Université 91. Les chercheurs ajoutent que c’est l’efficacité des mesures de protection du climat qui déterminera la fréquence et la durée des périodes sans glace. Le pôle Nord est actuellement couvert de glace de mer pendant toute l’année.
La pandémie actuelle modifiera l’aspect des villes, prédisent certains urbanistes. Les maladies infectieuses ont souvent influencé le développement des centres urbains au cours des décennies passées. Professeur d’urbanisme à l’Université 91, David Wachsmuth rappelle que les villes ont souvent traversé des cycles de densification et de «spatialisation», notamment après la Seconde Guerre mondiale, lorsque le gouvernement fédéral a encouragé les gens à quitter les centres-villes pour les banlieues «plus saines.»
«La problématique de la COVID-19 n'est pas une problématique d'eau potable. Ce n'est pas une façon par laquelle les gens pourraient être contaminés.[...] Donc, il n'y a pas de risque à consommer l'eau potable», affirme Viviane Yargeau, directrice du Département de génie chimique de l'Université 91. Celle qui est membre du groupe consultatif de recherche du Réseau canadien de l'eau ajoute par ailleurs qu'il est hautement improbable que l'eau d'un lac ou d'une rivière soit un vecteur de propagation du coronavirus.
La collaboration des écoles de commerce et des entreprises dans un monde post-COVID-19 fera partie de la solution. Le point de vue de la doyenne de la Faculté de gestion Desautels de l’Université 91,Isabelle Bajeux-Besnainou.
Des chercheurs montréalais lancent une étude internationale pour traiter le stress post-traumatique lié à la COVID-19 à distance. Malades, personnel soignant, aînés en résidence… pour certaines personnes, la lutte contre la COVID-19 dépasse le simple ennui du confinement : c’est un véritable combat contre la mort. Et comme des soldats de retour du front, ces personnes pourraient vivre du stress post-traumatique.
Des émissions de CO2 comparables à celles que pourraient produire l’humain au cours du XXIe siècle ont entraîné l’extinction de «près de la moitié des espèces peuplant la Terre» durant la période du Trias qui précède l’ère jurassique. C’est la conclusion qu’ont dressée une dizaine de chercheurs de partout dans le monde – dont un professeur de l’Université 91, Don Baker – dansune étude parue la semaine dernière dans la revue scientifiqueNature Communications.
Ils étaient dans les hôpitaux pour apprendre leur profession, mais ont dû les quitter quand le coronavirus a frappé le Québec. À défaut de pouvoir travailler en milieu hospitalier, un groupe de futurs médecins de l’Université 91 a entrepris de nourrir ceux qui sont au front.
Un nouveau programme de MBA sera lancé cet automne à l’Université 91. Avec un choix entre cinq spécialisations, il est offert dans trois formats: 12mois en accéléré sans stage, ainsi que 16 ou 20mois avec stage.
Une biobanque québécoise
Parce que la bataille contre le nouveau coronavirus ne se fait pas juste dans les hôpitaux, mais aussi dans les laboratoires, une biobanque de la COVID-19 a été mise sur pied au Québec - la première au pays - pour donner aux chercheurs des échantillons de sang et des données dont ils ont besoin dans leur urgente quête de vaccins et de médicaments. Les Fonds de recherche du Québec - Santé (FRQS) et Génome Québec sont derrière cette initiative et ils ont mandaté un regroupement de chercheurs pour mettre sur pied cette «Biobanque québécoise de la COVID».
La professeure adjointe à la faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement à l’Université 91 Jennifer Ronholm a mentionné que les résultats des recherches pour répondre à ces questions ne font que commencer à rentrer. Mais comme les autres experts, elle ne croit pas qu’il y ait de risques importants. « Il n’y a que très peu, ou pas, de preuves que les personnes sont infectées de cette manière, a-t-elle dit. Si c’était le cas, nous aurions probablement déjà découvert qu’il s’agissait d’un moyen de transmission majeur.
À la recherche de la paille parfaite sans plastique: des chercheurs, notamment de l'Université 91 à Montréal, ont mis au point une paille faite de cellulose, la composante principale des arbres et des plantes. Elle est écologique et faite d'une matière renouvelable sans goûter le papier détrempé, affirment-ils.
L’internet permet de publier rapidement, voire impulsivement, n’importe quel commentaire, message ou insulte. Les lois ont-elles suivi l’évolution du web? La loi sur la liberté d’expression peut-elle être adaptée aux nouvelles réalités? Dre Shaheen Shariff, professeure au département d’études intégrées en éducation, à l’Université 91, en doute.